Collection Belle-Mère. Femme DUn Gros Banquier (2/2)
Jai eu la chance de faire le service chez le marquis de Gras et dy rencontrer le fils de la maison.
Firmin, petit gros qui rapidement a été surnommé Gras double.
À 30 ans, il est toujours couvé par sa mère.
Je veux me sortir des galères que je vis étant de condition modeste, je porte mon dévolu sur lui malgré les difficultés.
Cest au café où il prend son petit déjeuner que je décide de passer à lattaque finale.
Jai amorcé mon affaire lors du cocktail ou je servais et ou je lai repéré.
Petit bouffit, à la limite de lembonpoint, avec un léger strabisme quil cache derrière de grosses lunettes noires.
Je repère ses habitudes et cest dans le café quil rejoint chaque matin entre le domicile de ses parents où il habite toujours et la banque de papa quil est censé reprendre dans quelques mois.
Ses parents vont prendre leur retraite à Marbella en Espagne dans une villa donnant sur la plage.
La vie de château à laquelle jaspire.
Certaines filles que je connais avec la beauté qui est là leur, se sortent de notre milieu en vendant leur cul comme escorte.
Jaurais pu suivre cette voie, étant capable de sucer un black pour des renseignements, mais cest le chemin du mariage que jai décidé demprunter avec ce toutou à sa maman.
Maman, cest là où le bât blesse, un vrai cerbère même si elle est bien conservée pour une femme avoisinant la cinquantaine.
Lors de la réception dans leur hôtel particulier ou avec quelques malices que je dirais sexuelles, jai réussi à être présente.
Dans le beau linge présent, tous pesant plusieurs millions deuros, mais dans la valetaille, le bas peuple, les gens que ces rupins ignorent, même si certains crèvent de faim.
Serveuse chez le traiteur, je devais promener des coupes de champagne qui devaient devenir ma première arme de persuasion.
Verre et plateau au sol dans un fracas incommensurable et du liquide sur le pantalon de ma proie.
Cest à ce moment que jai découvert létendue du massacre.
Non, dans son pantalon, avec mes doigts tenant la serviette que je tamponne sur le corps du délit, semble très prometteuse.
Moi qui sans être une pute adore le sexe et surtout celui des hommes, je sens une bite hors du commun et au repos qui plus est.
Même si jarrive à mes fins et à ma faim, je risque de passer un moment des plus sympas.
Verre et plateau, un à zéro pour moi, car me traitant de gourgandine, car jai effleuré le sexe de son garçon, je la remets fermement en place, certainement donnant dans le même temps mon nom à ce garçon.
Deuxième attaque au café du matin, quil prend immanquablement à la même heure, au même bistrot, à la même table.
Ayant trafiqué le talon très haut de ma paire de chaussures choisie dans les plus éculées que je possède, mais porte-bonheur pour moi.
Ce sont les talons que javais lors de la réussite à mon bac, lors de la soirée ou jétais allée et que ce bel Andalou ma dépucelée.
Je dis Andalou, mais peut-être était-il, Italien ou Hongrois ou tout simplement de Lamotte-Beuvron.
Cette première fois est un bon souvenir, ça mouvrait à la vie et quelle vie.
Sans aller jusquà dire que je suis une pute, je dirais simplement que je suis une salope aimant la bite.
Celle que je convoite, même si elle aura quelques contraintes, je lespère belle me prélassant dans ces milieux dits sérieux où ma proie évolue.
Bref, mon talon déjà préalablement décollé avec un cutter, casse lorsque jappuie fermement.
Je dois faire une confidence, au moment où jappuie, la première fois, je sens que ça bouge, mais sans rien de plus.
À la deuxième tentative, il a cassé me propulsant vers mon avenir.
Sandrine...
Il a retenu mon nom et cest pieds nus quil mentraine vers chez lui pour chercher une autre paire dans le dressing de belle-maman.
De plus, il me tutoie, cest bon signe, jen fais de même, le climat en est plus détendu.
Germaine ?
Oh ! Sandrine, bien sûr, il y a des tensions avec elle, soit sans crainte, après ton regard et la manière dont tu las rembarrée, jai mis les choses au point sur ma vie et mon indépendance.
La maison est vide, elle a deux périodes dans sa vie, Paris et Marbella, elle se fait bronzer là-bas.
Bien que je me serais contrefichu de sa présence, son absence facilite mes plans.
Lorsque je rentre dans sa chambre après que nous soyons montés à létage par un ascenseur intérieur, je découvre, le palais des mille et une nuits.
Un lit aussi grand que ma chambre et à ce que je comprends, son père ayant une pièce semblable à létage supérieur.
Lui ayant une chambre, je dirais même un appartement encore plus haut.
Et cest à cet instant quil ouvre un placard qui coulisse jusquà moi.
Des paires de chaussures sont alignées, combien impossible de le dire.
De toute forme et de toute couleur.
De toutes de modèle possible et inimaginable ?
La caverne dAli Baba des chaussures, mais aussi des vêtements lorsquil ouvre un deuxième placard rempli de robes de tout genre et de tout modèle.
Il est impossible quune femme puisse avoir porté même une seule fois toutes ces robes.
Tu vois ce gâchis, dans une heure, jai rendez-vous avec des clients pour un crédit à la consommation.
Jai étudié leurs dossiers, ils ont un surendettement dépassant les 30 %, ils ont fait des crédits revolving quils seront incapables de rembourser, même sils payent tout au long de leur vie.
Je vais leur refuser, les plongeant dans une plus grande misère.
Tu peux leur racheter et les étaler sur une période plus longue.
Comment sais-tu ça ?
Jai un BTS de comptabilité, voilà pourquoi.
Pendant tes cours, tas tes dits que ces crédits revolving, cest les banques qui les créent afin de tenir les clients dans leur main ?
Je prends ces escarpins, il correspond à ma manière de vivre.
Et tu en es plus grande à mes yeux.
Pour te faire plaisir et pour celer notre rapprochement grâce à tes chaussures, je vais faire ce que tu mas dit.
Jignore si je vais atteindre mon but final, mais si ce soir une famille sendort plus sereinement, jen serais la plus heureuse.
Heureuse, je le suis quand il me prend dans ses bras et que son sexe touche le mien, hélas, séparés par nos vêtements.
Mais, si je dépucelle ce garçon, cest seulement sil mépouse, avec mes coups dun soir, cest comme je le dis, « dun soir » et je me couche rapidement.
Avec Gras double, je veux la bague et, me réserver sans risquer quil méchappe, je vais céder dans deux ou trois jours lorsquil maura fait des promesses et lâché sa marquise de mère.
Il bande, je suis à deux doigts de craquer, jaimerais voir sa verge qui doit être phénoménale.
Jaccepte quil membrasse, son baiser est des plus voluptueux, ça dure et ça dure, merde, je fonds.
Veux-tu que je te montre mes appartements ?
Jamais le premier jour Firmin.
Te dire que je suis vierge, ce serait un mensonge, mais soit sans crainte tout petit.
À ce jour mon cur est loin davoir battu comme il bat depuis que je suis dans tes bras.
Je suis satisfaite de mêtre reprise, car la suite va me donner raison.
Tu as raison Sandrine, jai beaucoup de sentiments pour toi.
Notre regard et le moment où je tai donné ma carte, javais dans lesprit dun coup dun jour afin déviter de déplaire à ma mère.
Quand tu las remise à sa place, jai su que tu étais celle que jattendais.
Le soir lorsquelle est montée dans ma chambre membrasser comme elle le fait depuis 30 ans, moi aussi, jai réussi à laffronter.
Dernière fois quelle le faisait, mais surtout je lui ai signifié que je tavais donné une carte de visite et que si tu appelais je tinviterais au restaurant.
Que fais-tu ce soir ?
Tout ceci sentait bon la réussite, rien bien sûr, je suis à sa disposition.
Veux-tu mépouser ?
Au dessert, un genou à terre, malgré son embonpoint, Firmin de Gras me demande dêtre sa femme me présentant une magnifique bague, celle de sa grand-grand-mère.
Es-tu sûr, que va dire ta mère ?
Ça a fait partie de mes résolutions, es-tu libre ce week-end ?
Oui, pourquoi ?
Je temmène auprès delle à Marbella, elle va te recevoir comme le mérite la femme que je vais épouser.
Jai fait des pieds et des mains alors quun coup de fil comme il me lavait proposé. Mais cette attente et ces retrouvailles, quil croit fortuite, réalisent mon rêve de devenir marquise à la suite de la marquise actuelle.
Bonjours Sandrine, je me souviens de votre nom, cétait la première fois que lon me remettait à ma place depuis que, jai épousé le marquis.
Voilà, cest fait, cest à Marbella dès notre installation que dans sa chambre donnant sur locéan que nous nous dénudons mutuellement.
Jai dit une grosse connerie en parlant du puceau.
Dans le dos de sa mère, sous couvert daller rendre visite à des clients, Firmin a de nombreuses maîtresses, des femmes du monde sennuyant souvent.
Sa queue me direz-vous ?
Phénoménal, son gland est si gros que jai du mal à le faire entrer dans ma bouche.
Ma chatte, sans dire que mes nombreuses aventures dun soir mon défoncer, il me prend avec délice.
Je pars vers des sommets jamais atteints, je jouis perdant la notion de lendroit où je suis.
Je vis un rêve éveillé, dans les plus brefs délais, je deviens la femme du marquis Firmin de Gras.
Ma belle-mère, un ange pour moi, elle me fait connaître des boutiques merveilleuses.
Ça fait un an que jai épousé Firmin.
Je suis à Marbella me tenant le ventre.
Depuis mes noces, jai nettement profité de la queue qui a fini par concevoir notre fils.
Dès la naissance de François, même nom que le grand-père de mon mari.
François de Gras, marquis sous la révolution, mort à Waterloo ayant reçu un boulet anglais en pleine poitrine.
Je vous laisse, je dois me reposer avant la naissance et avant de retrouver mon bureau à la banque.
« Sandrine, chargée des cas de surendettements bancaires. »
Ceci dans la banque tenue par Firmin, je sais que beaucoup pensent que je suis la femme du gros banquier.
Non, je suis la femme de cet homme si charmant et toujours à mes petits soins même sil souffre dans gros embonpoint.
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